Lucien Samir Arezki Oulahbib
On tentera ici une plaidoirie en se plaçant sous l’autorité de ce vieil adage populaire indiquant que « l’on va se faire l’avocat du diable » parce qu’il s’agit de comprendre, donc de ne pas condamner (vous, les jurés…de l’opinion…) sans avoir jugé le fond : « l’on ne peut pas régler le problème du sida avec la distribution de préservatifs. Au contraire (leur) utilisation aggrave le problème ». Le porte-parole du Saint-Siège, Federico Lombardi a ajouté : « Il ne faut pas attendre de ce voyage un changement de position de l’Église catholique envers le problème du Sida ». Donc « développer une idéologie de confiance dans le préservatif n’est pas une position correcte » car « cela ne met pas l’accent sur le sens des responsabilités».