Lucien-Samir Oulahbib
Avant d’énoncer quelques commentaires sur le canon proprement trinitaire et sur la signification de certaines paraboles, proposons en introduction la lecture de deux petites histoires profanes pour indiquer que nous sommes ici sur un plan de mathesis imaginaire : ce qui implique qu’une telle Parole, lorsqu’elle est crue comme étant révélée, semble traverser, telle l’épée, toute énonciation, le moindre regard, le plus petit lien noué entre soi et soi, soi et autrui, y compris lié à sa propre chair.